Sylvain Gangneux a renconté le ministre de l’emploi pour faire évoluer une loi fiscale sur les cours particuliers : « Aujourd’hui, nous ne pouvons pas bénéficier du Chèque Emplois Service Universel (CESU), puisque nos professeurs n’exercent pas au domicile des gens.
Pourquoi faire une différence entre les professeurs qui exercent à domicile, une activité qui bénéficie du CESU, et des professeurs qui exercent en centre ?
D’autant que cette exonération fiscale a comme but de lutter contre le travail non déclaré et contre le chômage, deux objectifs auxquels répond notre activité.
En synthétisant les données disponibles, la demande la plus forte se situe au lycée (bac et dossiers d’admission dans les filières post-bac obligent), et ce pour les matières réputées les plus sélectives, à savoir les maths, les sciences physiques et les langues étrangères.
Face à ce constat, nous avons décidé de vous proposer un accompagnement scolaire et des cours particuliers dans ces différentes matières.
Une étude met aussi en relief le cas particulier de la France et les 15% de progression du
secteur en 2006, pour la sixième année consécutive : le marché du cours particulier s’élève
en France à 2,2 milliards contre à peine un milliard en Allemagne et 400 millions d’euros en
Italie et en Espagne.
La profession (soutien scolaire) a subi une forte dégradation de son image notamment en
termes de qualité d’enseignement.
En effet, les médias ont mis en avant la difficulté de gestion de la croissance du secteur entre
2005-2008, avec la nécessité d’embaucher des intervenants en nombre.